NO MORE (DE, new wave) | La Chaouée

Prix libre

Le groupe allemand NO MORE a été fondé en 79 — une époque ayant soif de changement et d’innovation d’un point de vue musical. Le punk et la new wave ont balayé les années 70, et NO MORE a dès le début fait partie de ce mouvement. Le groupe s’est séparé en 86 quand les années 80 sont justement devenues trop 80.

Fin 2008, NO MORE est remonté sur scène, réduit au duo Tina Sanudakura et Andy Schwarz.
Ne ménageant pas leurs efforts, ils ont depuis tourné partout en Europe, réalisé trois nouveaux albums, et son allés bien au delà du hit ‘Suicide Commando’.

À travers l’Europe, le duo présente une combinaison de post-punk, de pop et d’électro. À noter que leur morceau existentialiste All Is Well - Senza Macchia a été utilisé dans une série criminelle allemande. Leur titre Turnaround, quant à lui, est devenu instantanément un classique.

En live, NO MORE combine des instruments électroniques inhabituels, comme le thérémine et l’étonnant ‘Cercle Vert’, avec des sons digitaux et analogiques qui donnent une impressionnante performance Indie-post-punk-pop-électronique-bref, à la fois musicale et visuelle.

Liens :

http://www.facebook.com/official.no.more
http://www.NoMoreMusic.eu
http://www.youtube.com/NoMoreRemakeRemodel

Presse :

"These guys are, quite literally, legends. Original contemporaries of Kraftwerk, they released their seminal single "Suicide Commando" in 1981, the same year that Kraftwerk released their what is commonly regarded as their last great album "Computer World".
The big K’s influence on NO MORE’s dark brand of electronica is clear, but with "Suicide Commando", NO MORE also managed to intelligently and subtly add punk to the mix. It’s always impressive when a band go full circle and have the presence of mind to use the music of those they’ve influenced to re-invigorate their own sound.
(The Playground Magazine, UK)

"Between cold and electro, employing French with great panache on a title (at the beginning of album), the German duet offers a hybrid, personal world, and glorious good songs..."
(Premonition, FR)

"... impressively demonstrates how one can develop without denying the roots of the self."
(Westzeit, DE)